Chapitre 2 : La découverte du Monde des Douze
Chapitre 2
Le découverte du Monde des Douze
Après la mort de ma mère, je décida de partir découvrir le Monde des Douze, qu'elle m'avait tant décrit et tant déconseillé d'arpenter seul, mais j'était voué à moi-même Je m'arma donc d'une épée et de mon casque, et partis pour la Grande Aventure. Mon premier combat, je le mena contre un moskito.En guise de blessure, il ne me laissa qu'une piqûre. Je sortis vainqueur de ce combat et je me crus surpuissant. Par la suite, je provoca un groupe de bouftou, et pour le coup, qui me remis vite a ma place, car je du prendre mes jambes a mon cou si je voulais survivre. Conscient de ma faiblesse, je compris qu'il me fallais un meilleur équipement, et en plus de cela, j'avais faim. J'avais donc deux bonnes raisons de gagner des kamas. Des kamas... Comment allais-je faire? C'est en passant devant un paysan en action que je compris: Il me fallais fauché du blé, faire mes pains et vivre ainsi. Je courrut donc à Astrub, pour apprendre ce qu'est donc le metier de Paysan. Je passais mes journée à faucher, en me remplissant les poches et créant un certains lien avec le Banquier qui était victime de mes allers- retours à la banque pour y déposer mes céréales. Lorsque je fut bien équiper, je retournait taquiner du Champchamp et autres créatures des champs. Mais un jour, l'une delle fit tomber une clef toute bizard en guise de drop. Je ramassa l'objet et questionna les passants à son sujet, et apprit qu'elle servait à ouvrir le Donjon des Champs. Fasciné par l'idée de faire mon premier donjon, je voulut m'y rendre immédiatement. Apprenant sa position grâce a ma carte, je m'y rendis, recruta un équipage et entra, tout plein d'exitation mélangé a de la panque. Après quelques heures de combats acharnée, nous sortions vainqueurs de l'antre infernale, et nous offrions un petit tour à la taverne d'Astrub. A la fin de notre virée, et ce qui me déplus beaucoup, nous repartiions tous de notre côté. Après ce donjon, je me sentais plus fort phisiquement. Je m'entrainais donc dur pour pouvoir acquérir de nouveau sort, ce que je réussis.
Le découverte du Monde des Douze
Après la mort de ma mère, je décida de partir découvrir le Monde des Douze, qu'elle m'avait tant décrit et tant déconseillé d'arpenter seul, mais j'était voué à moi-même Je m'arma donc d'une épée et de mon casque, et partis pour la Grande Aventure. Mon premier combat, je le mena contre un moskito.En guise de blessure, il ne me laissa qu'une piqûre. Je sortis vainqueur de ce combat et je me crus surpuissant. Par la suite, je provoca un groupe de bouftou, et pour le coup, qui me remis vite a ma place, car je du prendre mes jambes a mon cou si je voulais survivre. Conscient de ma faiblesse, je compris qu'il me fallais un meilleur équipement, et en plus de cela, j'avais faim. J'avais donc deux bonnes raisons de gagner des kamas. Des kamas... Comment allais-je faire? C'est en passant devant un paysan en action que je compris: Il me fallais fauché du blé, faire mes pains et vivre ainsi. Je courrut donc à Astrub, pour apprendre ce qu'est donc le metier de Paysan. Je passais mes journée à faucher, en me remplissant les poches et créant un certains lien avec le Banquier qui était victime de mes allers- retours à la banque pour y déposer mes céréales. Lorsque je fut bien équiper, je retournait taquiner du Champchamp et autres créatures des champs. Mais un jour, l'une delle fit tomber une clef toute bizard en guise de drop. Je ramassa l'objet et questionna les passants à son sujet, et apprit qu'elle servait à ouvrir le Donjon des Champs. Fasciné par l'idée de faire mon premier donjon, je voulut m'y rendre immédiatement. Apprenant sa position grâce a ma carte, je m'y rendis, recruta un équipage et entra, tout plein d'exitation mélangé a de la panque. Après quelques heures de combats acharnée, nous sortions vainqueurs de l'antre infernale, et nous offrions un petit tour à la taverne d'Astrub. A la fin de notre virée, et ce qui me déplus beaucoup, nous repartiions tous de notre côté. Après ce donjon, je me sentais plus fort phisiquement. Je m'entrainais donc dur pour pouvoir acquérir de nouveau sort, ce que je réussis.